Study: 10 yrs of Euthanasia in Belgium – Should Quebec Embark on This Lethal Journey

On the last day of public hearings on  » end of life care , » the Coalition of Physicians for Social Justice invited Dr. Georges Casteur , former medical director of a neurological rehabilitation center in Ostend , Belgium(1976 to 2012) to present results of 10 years of euthanasia in his country. According to Dr. Casteur, safeguards and controls in Belgium do not provide complete protection. According to studies, one-third of patients “euthanized” were not able to give free and informed consent. Almost 50% of “euthanasia cases” were not reported to authorities. He described the steep slippery slope and “the culture of death” that is now installed in Belgium. He gave several examples of people “exhausted of life, or depressed » who were given lethal injections without prior notification to their family members. Recently a 44 year old patient named Nathan Verhelst ( » Nancy « ) unhappy with a sex-change surgery was euthanized on Sept. 30, 2013. In contrast, several of Dr. Casteur’s patients have changed their decisions to end their lives after talking with him or his colleagues. Last year one of his patients with severe quadriplegia, following an accident, was referred to a Brussels hospital for three weeks of rehabilitation after euthanasia was already programmed. After a chance conversation with a physician at the clinic, he changed his mind and is now enjoying life. He also described how pressures such as financial problems, family members, heirs, health care providers and administrators lacking hospital beds, can prevent people from making “free and unbiased decisions.” Also there is a lack of independence of the second consulting physician who is often a member of the same team with a goal of promoting euthanasia. He showed the similarities of the Belgian and proposed Quebec law. He argued that the same tragic consequences will happen if euthanasia is legalized in Quebec. Furthermore Dr Casteur is astonished that the word euthanasia is not used in the Bill 52. However there is one major difference: Belgian law is a federal law unlike the proposed Quebec law which is a provincial.

Also present were a couple from Lachine, Quebec, Jacques Ro:y and his wife Diane Bergevin, whose life has been challenged since 2011 by two tumors, one behind the left eye and another in her lung. Despite the severity of the diagnosis, they are both relieved by the good response to treatment. Mr. Roy discussed the potential dangers of a poor prognosis given by some doctors and a variety of external pressures that may endanger the health and survival of patients. He is concerned that the new law will « encourage people to look for the easiest and the fastest fix- the deadly needle. Administrators, government and some doctors will benefit. It is clear that it is more expensive to treat diseases. So even though there may be a chance to survive or live longer, some doctors will quickly ship patients off to funeral homes.  »

Dr. Paul Saba who is a family physician and co-chair of the Coalition of Physicians for Social Justice explained the fatal consequences of euthanasia and the loss of individual autonomy if Bill 52 is passed. Euthanasia also creates significant risks such as premature deaths in those with potentially reversible conditions. In Oregon, before the government agrees to pay the cost of medical care even for young people, cancer treatment must obtain a success rate of over 50% for 24 months. People who could potentially live a long time or even get cured from a cancer diagnosis must pay out of pocket or accept the free lethal cocktail.

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r Georges Casteur présentera les conclusions de 10 ans d’expérience de l’euthanasie

Date : 10 octobre 2013Georges Casteur presente a Quebec contre la loi 52
Heure : 12H15

Endroit : Édifice André-Laurendeau
Salon Jacques-L’Archevêque
1050, rue des Parlementaires Québec QC

Lors de la dernière journée de l’audience publique sur les « soins en fin de vie » Dr Georges Casteur, un médecin belge, directeur médical IMBO (hôpital de revalidation locomotrice et neurologique à Ostende de 1976 à 2012) va présenter les conclusions de 10 ans d’expérience de l’euthanasie. Il va témoigner des conséquences et de la pente glissante qui s’est installée dans son pays .

Nous aurons aussi l’occasion de rencontrer un couple québécois, Monsieur Jacques Roy et sa conjointe Madame Diane Bergevin, qui a vécu des moments difficiles avec l’apparition de deux tumeurs, l’une derrière l’œil gauche et l’autre au poumon qui ont nécessité une chirurgie en 2011. Malgré la gravité de la maladie, le couple se réjouit d’une amélioration inattendue suite aux traitements. M. Roy va discuter des dangers d’un pronostic trop sombre établi par des médecins et « les pressions de l’extérieur » qui peuvent mettre en péril la santé et la survie des patients.

Le docteur Paul Saba, un médecin de famille et co-président de la Coalition des médecins pour la justice sociale va démontrer les risques mortels inhérents à l’euthanasie dans le monde actuel et la perte de l’autonomie individuelle si le projet de loi 52 voit le jour.

L’euthanasie – dangereux pour les patients non en fin de vie, illégale pour les médecins et un conflit d’intérêt pour le gouvernement

ENGLISH

La Coalition des médecins pour la justice sociale présentera son mémoire sur le projet de loi n°52 – Loi concernant les soins de fin de vie, qui sera déposé en commission parlementaire le 24 septembre 2013 à 19h30.

Dr Paul Saba va démontrer comment le projet de la loi 52 va à l’encontre des valeurs fondamentales de la médecine, et comment les balises et contrôles prévus par le législateur seront incapables de protéger la vie et la santé des personnes en « fin de vie » et « non en fin de vie ».

Me Dominique Talarico va présenter les arguments légaux pour expliquer les dérives d’un système juridique et médical et les risques non négligeables d’un accès à l’euthanasie.

Mme Hélène Beaudin, qui a perdu son père en 2010 et accompagne sa mère atteinte du cancer en fin de vie, ne souhaite l’euthanasie ni pour sa mère ni pour autrui, et va présenter son témoignage.

La triste histoire de la mort de la mère (64 ans) d’un  professeur belge, permise par l’application de la loi sur l’euthanasie de Belgique, découlant de sa dépression, sera discutée.

SOURCE : Coalition des médecins pour la justice sociale

Choisir de vivre en dignité, vouloir de bons soins: Un cas de sclérose latérale amyotrophique (SLA) grave.

Date : Mercredi, le 5 Juin 2013
Heure : 10:00 à 12:00
Lieu : 710, Acadia, Lachine, QC H8T 2V8
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Aujourd’hui, à la maison et au chevet du Dr Frank Humphrey, une conférence de presse se tiendra dans le but de démontrer la valeur de la vie humaine. M. Humphrey est un tétraplégique souffrant de sclérose latérale amyotrophique (SLA ou maladie de Lou Gehrig). Il est un survivant de soixante-cinq ans qui vit à la maison avec l’aide d’un ventilateur. Il a récemment publié un livre sur les origines de l’univers.

Lors de la conférence de presse, deux médecins seront présents. Dr. Paul Saba est son médecin de famille ainsi que co-président de la Coalition des médecins pour la justice sociale. Dr. Ron Olivenstein, chef de l’Hôpital Thoracique de Montréal, a une longue expérience avec des patients qui montrent le profil de «candidats idéaux» pour l’euthanasie, comme ceux atteints de maladies neurodégénératives telles que la Sclérose Latérale Amyotrophique ou la dystrophie musculaire.

Ces médecins discuteront de l’importance d’assurer la disponibilité des ressources médicales appropriées Lire la suite